Publié dans Politique

Lutte contre le VIH/SIDA - La Princesse Stéphanie de Monaco a passé deux jours à Madagascar  

Publié le jeudi, 24 octobre 2024

En toute discrétion mais avec une réelle implication, la Princesse Stéphanie de Monaco continue de prouver que l’engagement humanitaire ne se limite pas aux belles paroles. En effet, elle a effectué un séjour discret dimanche et lundi dans la Grande île pour ses engagements. 

Ce n’est pas la première fois que la Princesse  pose le pied à Madagascar, mais cette fois, son retour revêt une signification particulière. A l’occasion des 20 ans de Fight Aids Monaco, celle qui a toujours eu à cœur de défendre les causes humanitaires a choisi de revenir là où tout avait commencé pour elle avec l’association : Madagascar.

Sa visite a débuté au dispensaire SISAL Namontana, un lieu modeste mais essentiel, où elle a échangé avec le personnel de santé et les bénéficiaires. Pas de grands discours, mais des gestes concrets. Avec un sourire sincère et une simplicité qui contraste avec son statut, la Princesse a remis un chèque de 8 000 euros pour renforcer les actions de prévention et de dépistage. 

« Cela peut sembler peu, mais chaque geste compte », confie la sœur d’Albert II, le Prince actuel de Monaco, visiblement émue par les témoignages qu’elle entend, rapporte la presse monégasque. Un ordinateur portable, offert avec l’aide de Digital Aid, a également été remis pour aider les jeunes à retrouver un espoir professionnel, un geste qui lui tient particulièrement à cœur.

Le lendemain, c’est auprès de l’association Graines de Bitume que Stéphanie de Monaco a poursuivi sa visite. Là, elle a rencontré des enfants et des familles plongés dans une précarité extrême. Son regard attentif et ses mots bienveillants ont marqué les esprits. « Ce n’est pas seulement une question d’argent, mais d’humanité, d’écoute », a-t-elle confié, rapporte toujours la presse de la principauté de Monaco, touchée par les histoires partagées.

Christophe Glasser, directeur de Fight Aids Monaco, rapporte la presse, a lui aussi souligné l’importance de ces moments : « Venir sur le terrain, c’est comprendre ce que vivent les personnes au quotidien, c’est ajuster nos actions en fonction des réalités actuelles. » Une nécessité, selon lui, pour que les efforts engagés puissent vraiment faire la différence.

 

La Rédaction

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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